Dans la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel (2003), il est précisé que le terme «sauvegarde» signifie la garantie de la viabilité du patrimoine culturel immatériel et comprend également l'identification, la documentation, la recherche, la préservation, la protection, le développement, Le renforcement et surtout la transmission par l'éducation formelle et non formelle et la revitalisation de diverses parties de ce patrimoine. Par ailleurs, dans la Convention sur la protection et la promotion de la diversité des expressions culturelles (2005), il est dit que, dans le cadre du développement durable, la diversité culturelle est une qualité déterminante de l'humanité, elle constitue un patrimoine commun de l'humanité, Chéri et sauvegardé avec tout son contenu pour le bénéfice de tous. Ainsi, les conventions signalent les changements dans les approches de protection de la culture du point de vue du 19e et de la première moitié du 20e siècle basées sur l'identification, la collecte et l'archivage au point de vue de la seconde moitié du 20e siècle et aujourd'hui se référant à la sauvegarde, transmission et revitalisation du patrimoine culturel immatériel dans son contexte.
L'association du patrimoine culturel immatériel a pour objectif de contribuer à la sensibilisation des ONG sur le sujet, de les guider et de veiller à ce que les politiques soient intégrées dans l'application afin d'assurer la sauvegarde, la transmission et la viabilité du patrimoine culturel. De plus, parmi les autres objectifs de l'association on trouve : collaboration avec les autorités locales, participation à des projets de patrimoine culturel nationaux et internationaux, contribution en rejoignant les agences et organisations liées au patrimoine culturel national ou international, organisation des événements permettant la participation active de la société civile ou des universitaires et l’apport de soutien à d'autres organisations.